fbpx
Pleins feux sur les donateurs
Un investissement opportun pour modifier le cours de l’Alzheimer
De gauche à droite : Jean Monet et Jon Plens visitant un vignoble en France (2019).

Selon les estimations, plus de 44 millions de personnes dans le monde sont atteintes de démence – une population supérieure à celle du Canada. La maladie d’Alzheimer est la forme la plus commune de démence, à l’origine de 60 % à 70 % des cas.

Lorsque Jon Plens, établi à Montréal, et son partenaire depuis 39 ans, Jean Monet, ont discuté des solutions alternatives aux dons versés aux organismes de bienfaisance, leur engagement à soutenir la recherche sur la maladie d’Alzheimer était aussi directement lié à une expérience personnelle.

Ayant vu la mère de Jon, la mère de Jean et deux tantes composer avec la maladie, le couple a vite réalisé qu’il voulait soutenir la recherche qui, espérons-le, trouvera un jour les réponses pour prévenir, gérer et aider toute personne atteinte de la maladie d’Alzheimer.

Au Canada, environ 747 000 personnes souffrent d’Alzheimer ou de toute autre forme de démence. Selon la Société Alzheimer, 1 Canadien sur 5 a déjà pris soin d’une personne atteinte d’un trouble neurocognitif.

“Nous reconnaissons tous les opportunités philanthropiques qui se présentent. J’ai bon espoir qu’en faisant mieux connaître l’Institut Weizmann, d’autres trouveront des connexions personnelles et émotionnelles avec les initiatives de Weizmann et reconnaîtront la valeur du don.”
— Jon Plens

Faute d’un médicament ou d’un traitement pour prévenir la démence/la maladie d’Alzheimer, le couple tenait absolument à soutenir la recherche dans ce domaine. Et il y a lieu de croire que des découvertes qui changeront la vie des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer approchent à grands pas. En juillet 2020, des résultats de recherche confirment qu’environ le tiers des cas de démence pourrait être évité au cours des 25 prochaines années  grâce à des recherches supplémentaires.

« Pourquoi la science » ou « Pourquoi l’Institut Weizmann? » Jon a rapidement répondu que l’Institut Weizmann est à l’avant-garde dans de nombreux domaines de recherche et qu’en raison de sa réputation, il est particulièrement bien placé pour avoir des retombées mondiales grâce à de nouvelles découvertes scientifiques. (> En savoir plus sur les découvertes scientifiques)

« J’ai vite compris que ces vastes travaux de recherche seraient intéressants et qu’ils amélioraient la vie d’à peu près toutes les personnes que je connais », dit Jon. « L’Institut est très bien coté et a la réputation impressionnante d’attirer les meilleurs et les plus brillants talents mondiaux sur le campus. »

L’Institut Weizmann a publié 1 610 études dans ses différentes disciplines de recherche en 2019 et ses travaux de recherche ont été cités 7 899 fois par d’autres scientifiques dans le monde au cours de l’année dernière, ce qui contribue davantage à sa réputation mondiale. (> En savoir plus sur les faits et chiffres) (article en anglais seulement)

Tout récemment, l’Institut Weizmann s’est classé au deuxième rang mondial dans le prestigieux Nature Index pour la qualité de la recherche et est la seule organisation non américaine à figurer parmi les huit premières pour la qualité et les retombées de la recherche dans le classement de l’Université de Leyde.

Jon a entendu parler pour la première fois de l’Institut Weizmann par son amie et mentor Joanne Nemeroff qui est également membre du conseil national de Weizmann Canada, membre du conseil international et présidente de la division montréalaise. Après avoir été chaleureusement accueilli dans la communauté Weizmann Canada en prenant part à une série d’événements, Jon a été conquis, ajoutant « ma participation à l’Institut Weizmann a été des plus formatrices. »

Au cours d’une année très difficile, les recherches montrent que la confiance dans les sciences a atteint des niveaux sans précédent au Canada et dans le monde entier.  Il ajoute que la pandémie de la COVID-19 démontre clairement que les réponses se trouveront grâce à la science.  (> Pour en savoir plus sur la recherche sur la COVID-19) (article en anglais seulement)

Des réponses que Jon et Jean espèrent également trouver dans le travail de recherche sur la maladie d’Alzheimer et plus encore.

« Nous reconnaissons tous les opportunités philanthropiques qui se présentent. J’ai bon espoir qu’en faisant mieux connaître l’Institut Weizmann, d’autres trouveront des connexions personnelles et émotionnelles avec les initiatives de Weizmann et reconnaîtront la valeur du don », ajoute Jon. « Il y a une transparence à l’égard de l’argent que vous injectez. »

 

Articles connexes
Don testamentaire, Pleins feux sur les donateurs
Lilian et Carol Abraham se sont rencontrés au début des années 1960 (pendant leurs études à l’Institut Weizmann) et ils ont tous les deux rapidement réalisé leur amour commun de la science et de l’apprentissage, et ont n décidé de se marier après seulement cinq rencontres. Leur amie proche, la Dre Hilary Vallance, membre de la Section Vancouver, évoque leur attachement à l’égard de la science et le généreux legs testamentaire qu’ils ont fait à l’Institut Weizman
Pleins feux sur les donateurs
Adam Betel, coprésident de la Ligue Weizmann Toronto, parle de l’établissement de liens avec la communauté Weizmann, de la mobilisation de la prochaine génération de philanthropes et du développement d’une passion pour la recherche aiguillonnée par la curiosité
Pleins feux sur les donateurs
Scott Binns, membre de la Section Montréal, explique comment il est entré en contact avec la communauté Weizmann, son intérêt pour la science et la technologie et ce qu’il espère accomplir en tant que bénévole.