Anja Haman, membre de la section de Vancouver, parle de sa passion pour les neurosciences, des progrès réalisés dans la compréhension du cerveau et de sa rencontre avec les scientifiques de l’Institut Weizmann
« Si vous laissez les gens satisfaire leur soif de découvertes, vous obtiendrez plus de créativité. » Alors qu’Anja Haman, membre de la section de Vancouver, parlait de la recherche aiguillonnée par la curiosité à l’Institut Weizmann des Sciences, c’est sa propre curiosité pour la science qui l’a amenée à entrer en relation avec l’Institut Weizmann Canada.
Elle a assisté à divers événements Weizmann depuis qu’elle a rejoint la communauté Weizmann en 2021, et ce qui l’a immédiatement frappée, c’est la capacité des scientifiques de l’Institut Weizmann à rendre leur science accessible, en particulier pour les personnes qui n’ont pas forcément une formation scientifique.
L’année dernière, elle a participé à l’événement en ligne Living and breathing a future with COVID-19, où le professeur Gabi Barbash, directeur général émérite du ministère israélien de la Santé et directeur du programme Bench-to-Bedside de Weizmann, a mené une discussion sur un avenir incluant la COVID-19. Elle mentionne avoir été impressionnée par leur savoir et ce qu’ils disaient ne pas savoir encore, et par la façon dont leurs années d’étude des coronavirus les avaient préparés à la pandémie.
En septembre dernier, Anja Haman a participé à l’événement Mission Imperative à Vancouver et a entendu le professeur Avi Levy de l’Institut Weizmann parler de ses recherches sur la sécurité alimentaire et du nouvel Institute for Environmental Sustainability. En ce qui concerne les raisons pour lesquelles ces événements ont été si mémorables, elle déclare : « Pouvoir poser des questions aux scientifiques et entendre leurs réponses honnêtes et faciles à comprendre sur des sujets complexes, c’est vraiment une grande partie de ce que l’Institut Weizmann accomplit si bien. »
Curieuse des neurosciences, Anja était ravie d’animer une discussion organisée par la section en mars dernier sur le thème des neurosciences positives. En compagnie de leurs invités, le professeur Rony Paz, chef du département de neurobiologie de l’Institut Weizmann, et la Dr Sandy Penn Whitehouse, médecin à Vancouver et responsable médicale en chef de Tickit Health, ils ont exploré le domaine relativement nouveau des neurosciences positives, qui se concentre sur ce que le cerveau fait bien.
Anja se souvient d’avoir été impressionnée, il y a quelques années, par le progrès technologique qui a permis d’observer l’intérieur du cerveau de manière non intrusive, et elle se réjouit de ce que l’avenir nous réserve en matière d’avancées significatives.
L’approche collaborative et multidisciplinaire de l’Institut est un facteur qui, selon elle, distingue l’Institut Weizmann, les scientifiques ayant la liberté de collaborer et de satisfaire leur curiosité. « Regrouper tous ces angles multidisciplinaires permettra de réaliser d’énormes bonds en avant dans les connaissances en neurosciences, qui auront de grandes retombées sur l’humanité », ajoute-t-elle.
Plus que tout, Anja pense que ces efforts mondiaux de premier plan sont synonymes d’espoir pour l’avenir.
« Les neurosciences et tous les autres travaux de recherche effectués à l’Institut Weizmann me donnent de l’espoir, sous la forme d’une vie meilleure pour les gens, les animaux et la planète, déclare-t-elle. La recherche en neurosciences en particulier me donne l’espoir que la santé mentale et les maladies neurologiques qui sont actuellement mystérieuses ou mal comprises seront soutenues par des connaissances, des traitements ou des cures dans un proche avenir. »
Apprenez-en davantage sur la façon dont l’Institut Weizmann va percer les mystères du cerveau grâce à l’Institut Azrieli pour le cerveau et les neurosciences ou sur la façon de joindre les membres de la direction bénévole avec une section locale près de chez vous.