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Le don inestimable de Laura et Anthony Beck honore le passé et inspire l’avenir
De gauche à droite : Gideon, Anthony, Laura et Tamara Beck.

Selon les estimations, les troubles de santé mentale se manifestent avant l’âge de 16 ans chez environ la moitié des personnes touchées. La pandémie actuelle agissant comme un vecteur des problèmes de santé mentale, le récent investissement dans la recherche de Laura et Anthony Beck, résidents de Toronto, arrive à point nommé.

C’est la curiosité qui a poussé les parents d’Anthony, Mary et Tom, à devenir des admirateurs dévoués et engagés de l’Institut Weizmann des Sciences dans les années 1960. Au cours d’une mission, Mary a repéré un système d’irrigation au goutte-à-goutte dans le désert et a demandé comment on en était arrivé là. Le couple a été dirigé vers l’Institut Weizmann des Sciences.

Depuis cette époque, l’Institut Weizmann est un élément important dans la vie d’Anthony et est devenu un organisme pour lequel il voue une grande passion. (À ce propos, la sœur d’Anthony, Cathy Beck, a récemment reçu un doctorat honorifique de l’Institut Weizmann pour son soutien de longue date et est la première femme à devenir présidente du Conseil international Weizmann).

“« Je tiens beaucoup à montrer à nos enfants que c’est maintenant à notre tour de s’engager dans la philanthropie. C’est à nous de montrer aux générations futures combien il peut être satisfaisant de donner en retour. »”
— Laura Beck

Pour Laura, qui suit également les traces de ses propres parents, ce don est aussi un exemple à suivre pour leurs enfants Tamara, 21 ans, et Gideon, 18 ans.

« À mon avis, tout se résume à montrer à nos enfants ce qu’il faut faire pour que notre famille continue à croire en le « Tikkun Olam » », déclare Laura. Fidèle à cette croyance juive qui consiste à réparer le monde, elle ajoute : « Je tiens beaucoup à montrer à nos enfants que c’est maintenant à notre tour de s’engager dans la philanthropie. C’est à nous de montrer aux générations futures combien il peut être satisfaisant de donner en retour. »

Leurs deux enfants étudient à l’université Queen’s à Kingston, en Ontario. Tamara termine sa dernière année, et Gideon en est à sa première année.

Et les deux enfants sont fiers du long héritage de la famille dans le domaine de la science et de l’Institut Weizmann.

Enfant, Gideon affichait fièrement une illustration du Jardin de la Science à l’Institut Weizmann sur la porte de sa chambre, un cadeau de ses grands-parents. . C’est une grande fierté de constater l’héritage de la famille à la suite d’une visite sur le campus et de voir le jardin prendre vie.  Et l’amour de Tamara pour les sciences l’a amenée à choisir une carrière dans les domaines de la santé.

Investir dans les générations futures est également au cœur du don de Laura et Anthony, qui soutiendra la recherche en neurosciences liée aux jeunes à risque par la création d’un fonds de dotation : Fonds Laura et Anthony Beck et Famille pour la recherche en neuroscience. Une partie du don servira à soutenir un partenariat entre le professeur Ofer Yizhar de l’Institut Weizmann (qui a visité Weizmann Canada plus tôt cette année) et la Dre Florence Cavalli de l’Université de Toronto.

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“« Trouver quelque chose qui vous passionne vraiment - que ce soit la recherche sur le cancer, quelque chose en physique, ou quoi que ce soit d’autre - et quand vous trouverez cela, et, quel que soit le niveau de votre contribution, vous vous sentirez remarquablement gratifié et chanceux d’être dans cette position de donner en retour ».”
— Anthony Beck

Anthony est depuis longtemps passionné par la recherche de solutions aux problèmes de santé mentale.

« Je reconnais la chance que j’ai eue, d’être né dans cette ville – et dans ce pays – et je voulais faire quelque chose en guise de remerciement », déclare–t-il. Lorsqu’il a également appris que le nouveau président de l’Institut Weizmann, le professeur Alon Chen avait fait des recherches en neurobiologie, du coup, quelque chose s’est déclenchée.

« Cela a été immédiat – comme OK super, maintenant il faut trouver une façon de travailler ensemble », ajoute-t-il. En travaillant directement avec les dirigeants de l’Institut Weizmann, le partenariat symbiotique avec l’Université de Toronto a été établi.

« La science est quelque chose de concret, de tangible, et les résultats sont visibles; c’est quelque chose à se mettre sous la dent », dit Laura.

Pour ceux qui envisagent d’investir à l’Institut Weizmann, Anthony propose de « trouver quelque chose qui vous passionne vraiment – que ce soit la recherche sur le cancer, quelque chose en physique, ou quoi que ce soit d’autre – et quand vous trouverez cela, et, quel que soit le niveau de votre contribution, vous vous sentirez remarquablement gratifié et chanceux d’être dans cette position de donner en retour ».

 

 

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