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Pleins feux sur les donateurs | Don testamentaire
À la douce mémoire de la courageuse, de l’altruiste et de la généreuse Sharen Werk
Sharen Werk

La notice nécrologique de Sharen Werk, donatrice testamentaire à l’Institut Weizmann, la décrit comme « une femme remarquable, indépendante, très respectée et perpétuellement optimiste, qui a apporté joie et réconfort à tous ceux qui l’ont connue ».

Robert C. Kay, un ami très cher, directeur d’entreprise et conseiller commercial, a exprimé des sentiments similaires lorsqu’il a récemment parlé de Sharen, qu’il a décrite comme remarquablement généreuse, ajoutant qu’il le réalise pleinement depuis les témoignages de nombreuses personnes touchées par sa générosité.  

« Elle était elle-même très généreuse et attentionnée à aider les gens, qu’elle les connaisse bien ou non. Je pense qu’il n’y personne qui a croisé son chemin qui n’a pas vu en elle une source de soutien, une source de connaissances ou une source de réconfort », a rajouté Robert.  

Sharen a également été décrite comme une enseignante exceptionnellement dévouée, une globe-trotter, une propriétaire-exploitante d’un café, une jardinière accomplie et une bénévole extraordinaire depuis 20 ans au Sunnybrook Health Sciences Centre. C’est sa passion pour le jardinage qui l’a poussée à faire du bénévolat à Sunnybrook, notamment dans une serre gérée par la Fondation pour vendre des fleurs. Lorsque la serre a disparu, elle a continué à consacrer son temps précieux au bénévolat sous d’autres formes.    

Il y a quelques années, elle a reçu un diagnostic de dégénérescence maculaire liée à l’âge. Dans le cadre de son traitement, elle recevait des injections dans les yeux toutes les deux semaines. Selon Robert, c’est à ce moment qu’elle est devenue une « patiente très informée » et qu’elle a eu un regain d’intérêt pour la science – elle s’intéressait précisément au travail de ses médecins. 

“Sharen considérait l’Institut Weizmann comme étant à l’avant-garde de la science et du développement de la science au profit de l’aide aux personnes.”
— Robert C. Kay

Juste avant la pandémie de COVID, les médecins ont trouvé du liquide dans les poumons de Sharen, ce qui a malheureusement conduit à un diagnostic de cancer. Encore une fois, l’optimisme perpétuel de Sharen lui permettait d’affronter sa maladie avec courage et d’apporter de la joie à ceux qui l’entouraient. 

L’approche éclairée de Sharen face au traitement de son cancer a également incité Joël, le petit-fils de Robert, âgé de 10 ans, à dresser son portrait dans le cadre d’un projet scolaire. Le petit-fils de Robert adorait tellement Sharen qu’il l’appelait affectueusement sa « grand-amie ». 

« Sharen achetait des cartes-cadeaux échangeables contre un café pour les préposées et les infirmières pour les remercier des soins qu’elles lui prodiguaient. Elle traitait tout le monde avec beaucoup de respect et les gens l’aimaient en retour. Je suis encore particulièrement touché par l’expression de compassion et de chagrin des membres du personnel de l’hôpital lorsque je leur ai annoncé le décès de Sharen », déclare Robert.  

Généreuse tout au long de sa vie, Sharen est décédée le 1er août 2021.  

Dans son testament, Sharen a investi dans l’avenir des autres en faisant des dons généreux au Toronto Western Hospital (qui fait partie du University Health Network) et à l’Institut Weizmann des Sciences. 

C’est grâce à Robert que Sharen a connu l’Institut Weizmann. Ensemble, ils ont assisté aux événements organisés par l’Institut Weizmann à Toronto, qui accueillaient des scientifiques invités.  

« Sharen considérait l’Institut Weizmann comme étant à l’avant-garde de la science et du développement de la science au profit de l’aide aux personnes. Je pense qu’elle a été impressionnée par la façon dont cette recherche scientifique profiterait en bout de ligne à l’humanité », explique Robert.  

« Et c’était dans l’ADN de Sharen. »  

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